Dans un environnement où les taux d’intérêt restent élevés, certaines collectivités locales explorent des options de remboursement anticipé de leurs emprunts.
Qu’il s’agisse d’une gestion proactive, d’un réaménagement de dette, ou d’une réaction à des contraintes liées à un projet spécifique, il existe des facteurs techniques essentiels à prendre en compte avant de se lancer.
Parmi ces éléments cruciaux, la clause de calcul de l’Indemnité de Remboursement Anticipé (IRA) se révèle déterminante. L’écart entre les courbes OAT et swap peut en réduire le coût, mais ne suffit pas à en valider la pertinence.
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