En 2024, la BCE a subi une perte record de 7,94 milliards d’euros, conséquence d’un effet ciseaux entre des coûts d’intérêts élevés sur les dépôts bancaires et des revenus limités issus d’un portefeuille obligataire acquis à taux historiquement bas.
Parallèlement, face à une reprise de la consommation, à un assouplissement du crédit et à une transmission monétaire efficace, la BCE ouvre la porte à une pause dans la baisse de ses taux afin d’évaluer les conséquences de ses mesures.
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